Quelle peine ou quelle amende méritais-je parce qu’au lieu de mener une vie tranquille, j’ai négligé ce que la plupart des hommes ont à cœur, fortune, intérêts domestiques, commandements d’armée, carrière politique, charges de toute sorte, liaisons et factions politiques, me croyant trop honnête pour sauver ma vie si j’entrais dans cette voie ? […] Il n’y a rien, Athéniens, qui convienne mieux à un tel homme que d’être nourri au prytanée.
Socrate